« Bonne nuit les petits, faites de beaux rêves, Tonton veille sur vous ! »

Cette phrase prononcée par Raymond Barre à l’encontre de François Mitterrand lors de la campagne présidentielle de 1988 résume parfaitement l’article de mon estimé collègue député Dominique Bonny paru dans l’édition de la semaine dernière et concernant les accords TAFTA-TISA.

Sans revenir dans le détail de nos argumentations respectives, je maintiens que lesdits accords sont non seulement négociés dans une totale opacité et que certaines clauses mettent à mal l’agriculture, les services publics et les consommateurs.

Au demeurant, nul n’est besoin de faire peur aux lecteurs en affirmant que le Front national y est opposé. C’est bien tout le contraire, l’ensemble des partis de la gauche européenne et suisse ainsi que les syndicats, les organisations du monde agricole et même le Parlement wallon (Belgique) combattent lesdits accords ou à tout le moins, certaines des clauses.

La politique c’est une question de « timing », quand le train a passé il est trop tard pour construire un véritable rapport de force. Partant, le rapport de force doit se construire dès maintenant, partir depuis sa base citoyenne et non pas attendre la fin des négociations où nous pourrons que nous plaindre en vain…

Malheureusement et c’est son droit le plus strict, le PLR, lors du dernier plénum du Grand Conseil, n’a pas saisi cette opportunité et il me paraît important de le soulever – période électorale ou pas – l’enjeu est juste trop important.

Pour le surplus, le PLR n’est pas en reste pour se plaindre constamment de la réglementation sur les marchés publics (découlant d’accord internationaux avec l’OMC) allant jusqu’à accuser les socialistes ( !) alors qu’à l’époque du vote le PLR disposait de la majorité aux Chambres fédérales pour améliorer dite réglementation.

Lorsque l’on accuse son contradicteur de récupération politique, on ferait mieux de balayer devant sa porte.

A bon entendeur !

Nicolas Rochat Fernandez, député

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Harmoniser vie familiale et professionnelle: un accès aux crèches et garderies pour l’ensemble des Vaudoises et Vaudois

L’arrivée d’un enfant dans une famille dont les parents travaillent est une immense joie… et le commencement d’un parcours du combattant: la liste d’attente pour obtenir une place en garderie ou chez une maman de jour en adéquation avec les horaires professionnels des parents et les dépenses qui en découlent contraignent souvent les familles à jongler avec leur emploi du temps et celui de leurs proches pour pallier le manque de places et les coûts importants de frais de garde. Durant les 5 dernières années, il y a eu une augmentation de 37% des places d’accueil de jour. Mais les besoins de nouvelles places restent très importants et les tarifs devraient être plus accessibles pour les familles de la classe moyenne.

L’essentiel des coûts de crèches et garderies sont assurés par les familles. Les tarifs dépendent des barèmes adoptés par ces structures d’accueil, ce qui aboutit à des traitements très différenciés selon les régions. Une famille de la Broye ou de la Vallée de Joux peut ainsi recevoir une facture deux fois plus élevée qu’une famille lausannoise pour la même prestation.

Le PS veut réduire la charge que représentent les frais de garde pour les familles. Dans ce but, il propose d’introduire un barème de type cantonal pour les crèches et garderies qui permettrait une harmonisation et un plafonnement des charges en fonction du budget des ménages sous la forme d’un taux d’effort maximal par type de revenu, tout en tenant compte du nombre d’enfants à charge. Déjà mis en place à Bâle-Ville, cette méthode permet de réduire les charges qui pèsent sur la classe moyenne.

Afin de poursuivre les efforts initiés durant la dernière législature par les députées et députés socialistes, faites confiance au PS et votez la liste 4 le 30 avril prochain!

Marianne Oberson, PSVJ

Candidate au Grand Conseil

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Pour une politique de la santé au service de toutes et tous !

Face à une hausse des coûts de la santé et du vieillissement de la population, les socialistes au Grand Conseil s’engageront pour les mesures suivantes lors de la prochaine législature :

  • Créer une caisse publique cantonale d’assurance maladie

Une majorité des Vaudoises et des Vaudois ont accepté l’initiative pour une caisse publique, refusée sur le plan fédéral. Ce signal démontre la volonté de changement de la population vaudoise : il faut permettre aux Cantons de légiférer dans ce sens. Le PSV soutiendra toute initiative visant à modifier la législation fédérale.

Dans cette attente, le PSV s’engagera dans la mise en place d’une caisse cantonale d’assurance maladie en charge de l’encaissement et de la fixation des primes. Cette mesure, qui s’inspire du fonctionnement de l’assurance chômage, permettra de lutter contre la chasse aux bons risques, les coûts générés par les volumes des réserves des caisses maladie et l’opacité qui règne dans ce domaine.

  • Créer une assurance de soins dentaires

Le non-remboursement des soins dentaires pousse de nombreuses personnes à repousser au maximum certains traitements, ce qui, à terme, aggrave la situation. Le PSV veut créer une assurance pour le remboursement des soins dentaires.

  • Pérenniser et élargir le fonds pour la santé et la sécurité des travailleurs

En 2014, presque chaque cinquième ouvrier des 156’000 travailleurs occupés à plein temps dans le secteur de la construction gros œuvre, a subi un accident professionnel. Ce secteur est également un des plus exposés quant aux maladies professionnelles. Le 3ème volet vaudois de la réforme de l’imposition des entreprises contient une mesure particulière visant à l’amélioration de la santé et de la sécurité des travailleurs, en contribuant à un fonds spécial à créer en collaboration avec les partenaires sociaux de la branche concernée. Ce fonds, dont les bénéficiaires sont les employés des entreprises de construction vaudoises, vise à mettre à disposition des moyens financiers permettant de combattre par des mesures adéquates, préparées et mises en œuvre par les partenaires sociaux actifs sur le terrain, les causes menaçant la santé et la sécurité des travailleurs de la construction. Le PSV souhaite pérenniser et élargir ce fonds de soutien à d’autres secteurs professionnels.

  • Renforcer le maintien à domicile des personnes âgées et des personnes avec une atteinte chronique

Le maintien à domicile permet de diminuer les hospitalisations et/ou de retarder le moment d’un placement en institution. Le PSV propose dès lors de renforcer les soins à domicile notamment en créant des équipes de nuit, en soutenant l’harmonisation du dossier partagé et son utilisation par toutes les structures de soins, en renforçant la prise en charge dans la communauté et en coordonnant les prestations entre EMS, soins à domicile, médecins traitants et hôpitaux. Il propose également de développer les prestations favorisant le maintien à domicile comme le développement des équipes mobiles de premier recours médicales qui interviennent dans la communauté, EMS et domicile, 24h/24, 7j/7.

  • Améliorer la prise en charge des personnes âgées dans les hôpitaux

Les personnes âgées sont des patients particuliers dont la prise en charge doit être différenciée de celle des autres patients. En effet, les prises en charge classiques sont inadaptées à leurs besoins et, souvent, détériorent leur état de santé. Dès lors, le PSV propose de mettre en place des protocoles spécifiques pour la prise en charge des patients âgés.

Répondre aux besoins actuels et futurs c’est offrir un avenir sécurisé pour les personnes les plus fragiles de notre société. Parce ce que personne ne peut affirmer qu’il ne sera jamais malade, préparons les grands défis de demain en matière de santé publique.

Pour toutes ces raisons votez et faites voter Nicolas Rochat Fernandez et Marianne Oberson au Grand Conseil vaudois le 30 avril prochain (liste n°4).

Nicolas Rochat Fernandez, député

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La réussite est une affaire d’équipe !

Le 30 avril prochain, nous élirons nos représentants au Conseil d’Etat et au Grand Conseil vaudois. La campagne est dorénavant bien lancée et les candidats se mettent en avant en valorisant leur travail passé. Il est bon parfois de rappeler à certains que tous les projets réalisés par le passé, et que toutes les victoires acquises, ne l’ont pas été uniquement grâce à leur travail personnel ou au travail de leur bord politique.

Dans une présentation du PLR publiée la semaine dernière dans la FAVJ, Carole Dubois, récemment élue à la Municipalité du Chenit, a omis de préciser que le déplacement de la gare du Day avait été obtenu avec le soutien de la population dans son ensemble. Il est en effet important de rappeler que les Combiers ont manifesté leur attachement à ce projet en signant massivement la pétition lancée par le Parti socialiste Vallée de Joux au printemps 2015. Cette pétition avait par la suite été remise à la Conseillère fédérale Doris Leuthard ainsi qu’aux CFF.

Ce projet avait également été soutenu par Travys et porté au Grand Conseil par Nicolas Rochat Fernandez. Notre député se bat en effet depuis 2009 pour cette nouvelle gare. Il est également important de rappeler l’excellent travail effectué par la Conseillère d’Etat socialiste Nuria Gorrite et par toute son équipe qui a longuement négocié avec le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC) ainsi qu’avec la régie fédérale de transport.

Au Parti socialiste, nos élus et nos candidats sont bien conscients du fait qu’il faut travailler avec les autres, qu’ils soient acteurs du monde politique, syndical, associatif ou privé. L’important reste avant tout de collaborer pour le bien de tous. Nos candidats au Grand Conseil, Nicolas Rochat Fernandez et Marianne Oberson le savent, tout comme nos candidats au Conseil d’Etat, qui ont prouvé lors de la dernière législature qu’il était primordial de travailler collégialement afin de garantir la prospérité de notre canton et améliorer la qualité de vie de ses habitants.

Nos candidats au Grand Conseil, Nicolas Rochat Fernandez et Marianne Oberson seront par ailleurs ce soir, jeudi 30 mars à 20h, à l’Hôtel de Ville du Sentier (salle du Conseil communal) accompagnés de la Conseillère nationale Cesla Amarelle, candidate au Conseil d’Etat. N’hésitez pas à venir leur poser vos questions et leur faire part de vos préoccupations !

Pour une Vallée en mouvement, votez la liste n°4 au Grand Conseil et au Conseil d’Etat !

Au nom du PS Vallée de Joux
Sébastien Cala, Président

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Elections cantonales : au tour des vaudois !

Le printemps 2017 est synonyme de renouvellement dans plusieurs cantons romands. Après le Valais en mars, Neuchâtel en avril, ce sera le tour du canton de Vaud, le 30 avril pour l’élection au Grand Conseil et le 1er tour du Conseil d’Etat.

Je suis très fière du tandem que la section Vallée de Joux du parti socialiste vaudois vous présente pour ces élections cantonales : ce sont deux personnes de valeur, que je côtoie depuis deux décennies, et qui ont fait leur preuve autant par leur engagement à différents niveaux pour la population combière, que par les valeurs qui les animent dans leurs actions.

Nicolas Rochat Fernandez, député expérimenté malgré sa jeunesse, syndicaliste, juriste, a su gagné la confiance de ses pairs au Grand Conseil, puisque les députés socialistes lui ont confié la présidence du groupe.  Il a si bien conduit le groupe, obtenant le respect des autres partis présents au Parlement, qu’il a été élu au Bureau du Grand Conseil, ce qui devrait le conduire, au cours de la prochaine législature, à présider le Parlement vaudois.

Ce travail de fond au service de tous ne l’a pas empêché d’être présent sur de nombreux dossiers qui touchent la population de la Vallée, rappelant à chaque occasion aux Conseillers d’Etat nos préoccupations de région périphérique : transports publics, nécessité de baisse des primes d’assurance-maladie, enseignement et formation professionnelle, condition de travail des travailleurs et travailleuses, soutien aux emplois par un développement économique dynamique,..

Marianne Oberson, conseillère communale discrète et très efficace, a présidé avec conscience et savoir-faire le législatif du Chenit. Elle sait être à l’écoute des personnes qu’elle côtoie ; par sa profession d’enseignante, elle connaît bien la situation de la population de notre région ; elle se préoccupe de trouver des solutions aux problèmes quotidiens des gens et saura, sur les bancs du Grand Conseil, porter la voix des combiers de toutes conditions.

Pour le Conseil d’Etat, j’ai l’immense plaisir de pouvoir vous recommander le ticket Nuria Gorrite, Pierre-Yves Maillard, Cesla Amarelle et Béatrice Mettraux.  Les trois sortants ne sont plus à présenter et bénéficient d’un excellent bilan de législature.

La nouvelle du quatuor, Cesla Amarelle, est une femme exceptionnelle que j’ai eu l’occasion de côtoyer de près, et avec laquelle j’ai beaucoup travaillé depuis 2004 : elle fut ma vice-présidente lorsque j’ai présidé durant quatre ans le parti socialiste vaudois. Elle m’a succédé à la présidence du parti avec le succès que l’on connaît, a endossé l’habit de députée, puis celui de conseillère nationale depuis 2011.  C’est une travailleuse acharnée, qui a les valeurs socialistes chevillées au corps, et qui sait construire des ponts avec les autres forces politiques, pour le bien de la population.  Je la recommande à vos suffrages, avec conviction.  Elle aime être à l’écoute de la population ; ne manquez pas de venir faire sa connaissance ce soir à 20h à l’Hôtel de Ville du Sentier.

Si le canton de Vaud va si bien, la majorité de gauche au Conseil d’Etat, dans le respect des autres forces politiques en présence, n’y est pas pour rien.  Je souhaite pour notre canton et pour sa population que nous puissions rester dans la même dynamique pour les cinq prochaines années : un équilibre qui assure non seulement le développement économique, mais aussi une juste redistribution des fruits de la croissance pour le bien de toute la population.

Le Grand Conseil mouture 2017-2022 qui sortira des urnes le 30 avril siègera dans le nouveau bâtiment du Parlement, à côté du Château cantonal.  C’est tout un symbole, Depuis la nouvelle constitution vaudoise, entrée en vigueur le 14 avril 2003, le Parlement siège dans le Palais de Rumine, suite à l’incendie de la salle Perregaud lors des travaux de transformation de cette salle historique.  J’ai, à cette occasion, une pensée émue pour mon prédécesseur au Grand Conseil, Bernard Thalmann, qui avait quitté cette salle avec nostalgie après 24 ans au Grand Conseil.  L’inauguration du bâtiment rénové et repensé pour un travail efficace des parlementaires en plein XXIe siècle aura lieu le 14 avril prochain : tout un symbole qui relie l’Histoire du canton à son futur !

Josiane Aubert, ancienne conseillère nationale

 

Votez Nicolas Rochat Fernandez et Marianne Oberson au Grand Conseil vaudois le 30 avril prochain !

Le 30 avril prochain, vous serez amené à renouveler les autorités vaudoises et particulièrement les deux députés de la Vallée.

Cette élection est importante, les député-e-s ont une influence directe sur les décisions en matière de scolarité obligatoire, santé, politique de l’emploi, transports publics et l’environnement par exemple.

Pour ce faire, il est primordial que notre si belle région soit représentée par des élu-e-s efficaces, proches de la population, capables de relever les défis de demain mais aussi d’être des relais efficaces des autorités combières.

En effet, d’importants dossiers attendent la Vallée ces prochaines années dans les domaines suivants notamment : aménagement du territoire, logement, assurance-maladie, maintien d’un tissu économique fort, transports publics, Jeux olympiques de la Jeunesse 2020-

Les socialistes présentent deux candidat-e-s de qualité:

Premièrement, Nicolas Rochat Fernandez.

Député depuis pratiquement dix ans, il a su, durant deux législatures, défendre au mieux les dossiers importants de la vallée de Joux. Il s’est battu pour améliorer et développer la ligne de train Lausanne-Le Brassus, maintenir la ligne TGV Vallorbe-Paris. Il a défendu le remboursement des primes d’assurance-maladie payées en trop par les Vaudois-e-s. Il s’est battu pour le maintien des places de travail et pour un tissu industriel fort. Enfin, il a participé et défendu les dossiers régionaux en ce qui concerne la sécurité, l’accès aux routes forestières et l’organisation des Jeux olympiques de la jeunesse.

Pour mener à bien ces dossiers, Nicolas Rochat Fernandez a su collaborer, créer des alliances et un dialogue indispensable avec les autorités de la Vallée, avec des député-e-s et Conseillers d’Etats d’autres partis politiques que le sien, des associations économiques tant patronales que syndicales.

Sa capacité d’écoute, de dialogue et son expérience constituent des atouts indispensables pour relayer les préoccupations des autorités locales et de la population devant le Grand Conseil.

Deuxièmement, Marianne Oberson

Elle est élue au Conseil communal du Chenit depuis plus de douze ans. Elle a présidé le Conseil communal avec brio entre 2013 et 2015.

Depuis qu’elle est élue, Marianne Oberson a eu soucis de défendre les combats qui lui sont le plus chers, soit la défense des familles, de nos aînés et du service public. Elle est également très engagée dans le monde culturel combier.

J’ai également pu constater sa capacité de dialogue et d’écoute avec les différents élu-e-s communaux et la population. Partant, elle dispose également de tous les atouts pour représenter aux mieux les couleurs de la Vallée au Grand Conseil. De plus, sa candidature s’inscrit pour davantage d’élues femme en politique.

Au vu de ce qui précède, je vous invite à voter et faire votez Nicolas Rochat Fernandez et Marianne Oberson (liste socialiste n°4) le 30 avril prochain !

Olivier Baudat, Municipal

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