La politique ce n’est pas ce que « sont » les gens mais bien ce que « font » les gens (si possible ce qu’ils font lorsqu’ils sont élus) !

L’élément central d’une campagne électorale est la défense d’un programme. Les électrices et les électeurs n’élisent pas uniquement des personnes, mais choisissent aussi des idées et des propositions, plus généralement, ils choisissent l’équipe qu’ils et elles trouvent idéale pour diriger notre canton.

Pour ce faire, Béatrice Métraux et Cesla Amarelle s’engagent avec Nuria Gorrite et Pierre-Yves Maillard pour les mesures suivantes :

  • Améliorer le pouvoir d’achat des vaudois-e-s ;
  • Assurer un cadre de vie attractif pour les vaudois en poursuivant les investissements en matière d’infrastructures, de transition énergétique et de sécurité publique ;
  • Se battre pour un marché du travail structuré et des emplois pour toutes et tous ;
  • Assurer un système de formation accessible et de qualité.

En ne présentant aucun programme politique, le centre-droit vaudois – UDC en tête – préfère utiliser des slogans « y a ka » vides de substance et qui n’ont qu’un effet : diviser la société (sans parler de la référence aux écrits du vichyste Charles Maurras).

Cette stratégie est d’autant plus étonnante que les candidat-e-s Jacques Nicolet et Isabelle Chevalley ne sont, par exemple, jamais intervenus sur la question de l’apprentissage pour nos jeunes lorsqu’ils étaient tous deux député-e-s entre 2007 et 2011.

A contrario, la gauche (et notamment celui qui vous écrit) est intervenue régulièrement pour augmenter le nombre de places d’apprentis à l’Etat de Vaud ou se battre pour la validation des acquis de l’expérience pour les adultes…

Personne n’a le monopole du cœur bien évidemment, mais la politique ce sont des actes avant tout !

Pour toutes ces raisons, votez et faites voter Béatrice Métraux et Cesla Amarelle au Conseil d’Etat ce dimanche !

Nicolas Rochat Fernandez, député

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